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viernes, 7 de noviembre de 2014

ROSA LA BAYAMESA



In 1830, in the El Datil, was born a woman, the daughter of slaves brought from Africa in a merciless operation of abuse, mistreatment, torture and death.

 http://www.juventudrebelde.cu/file/img/fotografia/2009/08/512-fotografia-g.jpg
 
 

His hands were meant to perform actions that only a person with deep respect for such would be used to heal wounds and saving lives of those who were in danger of losing it.
 

During those heady days of October 10, 1868 this Cuban joined the struggle for independence in the La Manteca, Guise, where he displayed a laudable activity feeding the insurgents.
 

In his mind was planted the idea that the main contribution to the cause would be cespediana ensure the health of those injured in combat, although she wielded the machete on more than one occasion.
 

The colonialists, knowing who that woman was, brave, bold and loyal to mambisado, he viciously persecuted, so he emigrated to Camagüey to continue fighting.
 

He did not relent in the effort to continue to contribute as a nurse to the cause of independence and freedom, so in Camagüey land constituted a field hospital in a cave in the Powder Loma.
 

At the site of the Sierra de Najasa deployed a work in caring for those wounded in combat using herbs well known to heal the wounded insurgents.
 

Rosa Maria Castellanos, Rosa Bayamesa became an exemplary fighter, participating in the actions of Palo Seco and Naranjo, in which he demonstrated his courage.
 

Maximo Gomez met her at the hospital and said: ¨¨ have come to know, there is no name who does not know you for your noble deeds and great services offered to the motherland.
 

Rosa Bayamesa grades Captain reached the Liberation Army since become a paradigm not only for women of the island, but for men too.
 

After the war, 95 and that republic instituted the custom of the United States Government, Rosa were withdrawn assets which belonged to him as a member of the Liberation Army.
 

On that occasion he had to engage in the activities of midwife to survive in the midst of the situation created by the US presence on the island.
 

On September 4, 1907, the council approved a pension you 25 pesos per month but 21 days after Rosa died due to heart 

Gaspar Jiménez Escobedo: Miami, este muerto no es mío | Cubadebate

Gaspar Jiménez Escobedo: Miami, este muerto no es mío | Cubadebate

JOSE ALBERTO le rossignol PAR FRANÇAIS-CARAÏBES


 Un Bayamesa vocale marche ces jours éclairant les coins des Caraïbes, dans un effort pour insérer le nom de votre ville sur cette terre si proche des Grandes Antilles.


 
 

Avec le rythme contagieux de la musique cubaine cet interprète représente le Monument National City, donc avec la dignité qui a toujours caractérisé sa promenade à travers le personnel.
 

Ce qui semblait impossible est maintenant une réalité pour la joie qui l'entoure marche avec ses amis de faire des chansons, l'âme, l'adoucissement, la diffusion bonheur dans ces îles sœurs de la nôtre.
 

José Alberto The Nightingale a atterri à ces ports ainsi que d'autres représentants de Cuba et d'autres pays, tissage de ces liens d'amitié et d'amour que José Martí a toujours voulu favoriser.
 

Et la musique ne prie instamment les traducteurs, elle devient un catalyseur pour les rêves les plus chers et établit des lignes directrices pour la compréhension qui surmonte les barrières linguistiques.
 

Déjà Martinique planté une graine qui va sûrement être fructueuse parce que les ponts entre les peuples jamais frappent surtout si elles sont construites pour la musique qui exalte.
 

Tel est le cas qui nous occupe aujourd'hui, car il est prouvé que la musique laisse beaucoup de sympathie, les peuples et ceux de Notre Amérique, elle-même supposée atteindre les îles ou continent.
 

Cela va Nightingale, soulevant l'estime de soi, ce qui nous fiers d'être de plus en plus Bayamo, une condition qui a approuvé régulièrement dans leurs présentations.
 

La tournée mettant en vedette le thème principal étant son inspiration dédié à Bayamo, il a maintenant en Guyane française il se terminera le 12 de ce mois.
 

Aussi vrai amour avec la ville de sa naissance, José Alberto est impatient de revenir pour l'amener à la vôtre, dans leur milieu naturel il se déplace comme un poisson dans l'eau.
 

Précisément dans ces eaux des Caraïbes aura l'image et le talent de ce Bayamo vous sillonnant les lieux d'écriture dans le cas où le nom de Bayamo, notre belle ville.
 

A partir de maintenant et pour toujours, le nom indigène de notre communauté, briller les nuits sans lune Martinique et de la Guyane, ainsi que le soleil, étoile brillante dans les Caraïbes est multiplié afin que la vie ne meurt pas.